Le débat sur le réchauffement climatique et les politiques environnementales mondiales prend une tournure de plus en plus économique. Alors que certaines nations prennent leurs distances avec les engagements internationaux, ce sont principalement les citoyens européens qui supportent les coûts des mesures climatiques.
Le GIEC a eu le mérite de démontrer scientifiquement l’existence du réchauffement climatique. Mais fallait-il pour cela une organisation politique aussi coûteuse ?
Lors des COP 21, 22, 23, 24, 25, les discussions portent de moins en moins sur le climat et de plus en plus sur les financements.
En clair, le message est le suivant :
Si une grande partie du monde ne suit pas ces règles, alors les efforts consentis deviennent inutiles.
Résultat ?
Pendant ce temps :
Trump, dans sa communication provocatrice, affiche fièrement sa paille en plastique, désormais de nouveau autorisée aux États-Unis.
Sans partager toutes ses idées, une question demeure : Les politiques basées sur la contrainte donnent-elles réellement de meilleurs résultats que celles basées sur la liberté ?
Qu’il s’agisse de l’impôt ou du climat, l’histoire a montré que les solutions imposées ne sont pas toujours les plus efficaces.
Une réflexion à poursuivre…