Les Européens paieront-ils seuls pour le réchauffement climatique ?

Le débat sur le réchauffement climatique et les politiques environnementales mondiales prend une tournure de plus en plus économique. Alors que certaines nations prennent leurs distances avec les engagements internationaux, ce sont principalement les citoyens européens qui supportent les coûts des mesures climatiques.


Trump et le bouleversement des politiques climatiques

Le GIEC a eu le mérite de démontrer scientifiquement l’existence du réchauffement climatique. Mais fallait-il pour cela une organisation politique aussi coûteuse ?

  • Le GIEC est une construction politique, pas seulement scientifique.
  • Derrière lui, il y a une volonté politique forte qui oriente les choix et les financements.

Lors des COP 21, 22, 23, 24, 25, les discussions portent de moins en moins sur le climat et de plus en plus sur les financements.

En clair, le message est le suivant :

  • Si les pays développés (États-Unis, Europe) ne paient pas des centaines de milliards de dollars,
  • Alors les autres pays n’appliqueront pas les règles climatiques.

Si une grande partie du monde ne suit pas ces règles, alors les efforts consentis deviennent inutiles.


Qui paie réellement pour la politique climatique ?

Résultat ?

  • Ce sont les citoyens européens et américains qui financent à coups de milliards les politiques climatiques.
  • Trump a choisi de se retirer de ces engagements,
  • Les Européens, eux, continueront de payer… et même plus encore !

Pendant ce temps :

  1. La Chine ouvre une centrale à charbon chaque semaine.
  2. L’Inde achète des centaines d’avions.


Et en Europe ?

  • On restreint l’usage des voitures dans nos villes.
  • Ces mêmes voitures sont ensuite vendues ailleurs et continuent d’émettre du CO2, parfois même dans des conditions pires.


Liberté ou contrainte : quelle approche est réellement efficace ?

Trump, dans sa communication provocatrice, affiche fièrement sa paille en plastique, désormais de nouveau autorisée aux États-Unis.

Sans partager toutes ses idées, une question demeure : Les politiques basées sur la contrainte donnent-elles réellement de meilleurs résultats que celles basées sur la liberté ?
Qu’il s’agisse de l’impôt ou du climat, l’histoire a montré que les solutions imposées ne sont pas toujours les plus efficaces.

Une réflexion à poursuivre…

Mots clés